Fourmies : des construction de nouvelles maisons dès septembre et une démolition programmée de la Tour Jeanne 3

C’est en fin d’année et début 2024 que seront lancés les travaux de démolition de la Tour et d’une partie de la résidence Jeanne 3, dans le quartier de l’Espérance à Fourmies, le temps de reloger les derniers locataires ! Ce projet prévoit la construction dès septembre-octobre de 62 logements sur le site de l’ancien magasin « L’Unic » et rue Bouret dans le quartier de Trieux, pour un total de 102 appartements détruits et 90 autres réhabilités, dans le quartier de l’Espérance. Cet ambitieux projet, porté par le bailleur « Fourmies habitat », devrait s’élever à près de 25 millions d’euros, dont 15 pour la construction des logements neufs et 4,5 pour les opérations de démolition.

Il faut ajouter à cela 25 autres millions d’euros pour la rénovation thermique de 400 des 1217 logements du parc immobilier de Fourmies Habitat. En 2030, en tenant compte de la rénovation urbaine, ce sont plus 50 % des logements du patrimoine de « Fourmies habitat » qui auront ainsi bénéficié d’une rénovation thermique ultra performante. Mickaël Hiraux :

La rénovation urbaine par les autres bailleurs

10 nouveaux logements sortiront de terre sur les sites de l’ancien Cétim, rue du maire Coppeaux, par le bailleur Partenord. Dans le quartier de la gare, les résidences de la rue Michel Dubois et de la cour Carrée ne seront finalement pas réhabilitées, mais démolies en grande partie sous 2 ans, pour laisser la place à un verger et une ferme urbaine. Plus de 100 nouvelles habitations biosourcées et à énergie positives, seront alors construites, à l'initiative de l’Avesnoise. A titre de comparaison, on est sur un projet 3 fois plus important que l’écoquartier d’Anor et avec des constructions 25 % plus chères, pour satisfaire au cahier des charges Rev3...

>>> Mickaël Hiraux, le maire de Fourmies et Président de Fourmies Habitat, nous en dit plus : 

 

>>> Yves Duretz, le Président de l’Avesnoise et du groupe Sambre-Avesnois Immobilier :

Par Paul Schuler